Je rectifie avant tout deux choses :
"pour principe les lieux du Flood et leurs habitants" : cette affirmation est en fait incorrecte selon moi : l'âme humaine est le véritable principe lorsqu'il s'agit de philosophie à travers le Flood, mais d'autres lui sont subordonnés...que l'on peut qualifier de secondaires.
Lorsque je disait (et c'est ça qui a dû embrouillé Néré) : "philosophie salvatrice en puissance chez tout être humain" le "en puissance" étant ici employé comme défini par Aristote, je voulait en faite parler non pas du Flood, qui n'est pas présent chez l'être, mais de la philosophie qui trouve dans le Flood un moyen compatible et aisé de mise en oeuvre.
@ Néré (noble scarabée que tu est
) :
Si je prends ta question dans la formulation que tu lui a donné, je ne peut lui apporter de réponse, car le Flood n'est pas une voie spirituelle nous guidant tant bien que mal dans le monde extérieur à notre âme : c'est en fait un moyen extérieur (ce n'est donc pas un "métabolisme nous dominant", ni une quelconque métaphysique) nous permettant de trouver plus aisément et d'emprunter le chemin spirituel qui nous amènera à distinguer âme et corps, à nous libérer progressivement de notre attachement à tout objet, à accéder au détachement suprême appelé sagesse ou encore assimilé au bonheur.
Le Flood est donc un moyen terrestre, exercice d'une philosophie pour certains.